Extraits Videos

« Le temps d’une escale »

https://vimeo.com/696067123

 

WebDoc « Les Resistances » – FranceTV

Resistances

Episode N° 6
« Les Resistances -Du Massif Central à la Méditerranée »

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« Well…Well… Des bas et des Hauts » – Doc FranceTV

Extrait- « Well… Des bas et des hauts » from Circum Image on Vimeo.

La vie après un licenciement : « Astérix ! Il disait qu’il n’avait peur que d’une seule chose : « que le ciel lui tombe sur la tête ! » Mais nous, c’est ce qui nous est arrivé, le ciel nous est tombé sur la tête ! … ». A l’usine Well du Vigan, c’est quatre plans sociaux en quinze ans qui ont bouleversé la vie de Dominique, Angèle, Najet, Stéphane et Frédéric. Ce film raconte l’histoire de leurs reconversions.[/caption]

 

Faire la nouba – Documentaire 53′ – Extrait :

http://www.languedoc-roussillon-cinema.fr/film-regional/faire-la-nouba

https://vimeo.com/45492805#share

Faire la Nouba :

Rachid Guerbas enseigne la musique Arabo Andalouse à l’Ecole nationale de musique de Bourges. Ce musicien qui dirige l’ensemble AlBaycin se soucie de pédagogie et travaille l’apprentissage musical à partir de l’écoute et du rythme.

Nous suivons ensuite les débutants dans leur apprentissage du solfège. Des maîtres algériens de la musique AraboAndalouse donnent un « masterclass » auprès des jeunes musiciens qui perfectionnent ainsi leurs pratiques du rythme, du chant et de la musique.

Cette initiation à la  musique AraboAndalouse nous fait découvrir la construction de la Noubas ou Nawba Mazmum.

 

2° extrait :

 http://www.dailymotion.com/video/x6fc4f_faire-la-nouba_music#.UOCeLqxlF_c

 

Lien vers maison du doc :  http://www.film-documentaire.fr/Faire-nouba.html,film,9046

Amadou et Mariam : Documentaire 52′- Extrait :

Amadou et Mariam :

 Ils sont mari et femme, chantent et composent ensemble. Leur recherche musicale a commencé dans le Mali des années soixante-dix à l’Institut des Jeunes Aveugles de Bamako et avec le groupe mythique les « Ambassadeurs ». Ils ont décidé de mener une carrière internationale, en créant un son nouveau, sorte de synthèse des musiques d’Afrique de l’ouest, de Cuba, de la Jamaïque et du blues made in Bamako..

« Amadou et Mariam, on a fait chemin ensemble » est le portrait musical d’un homme et d’une femme dont la recherche sonore est au croisement de ces différents genres musicaux.

 

Face à la mer – Documentaire 48′  – Extrait :

Prendre le large – Documentaire 48′ – Extrait :

Prendre le large / Face à la mer :

Les pêcheurs ont le sentiment d’être dépossédés de la mer par des discours scientifiques culpabilisants ; les scientifiques ont le sentiments de ne pas être pris suffisamment au sérieux face à des situations environnementales qu’ils jugent alarmantes…

Entre contraintes et nécessités le moment est venu pour l’homme de décider quelles sont les démarches prioritaires. Poursuivre le chemin actuel au risque de voir le milieu maritime se stériliser où composer avec les équations complexes de la préservation du milieu marin. Deux documentaires ou il est question de la gestion de la ressource maritime en Martinique. Prendre le large ou comment une nouvelle technique est mise en place pour permettre aux pêcheurs d’aller plus loin en mer pour chercher la ressource et préserver ainsi le milieu côtier et Face à la mer qui raconte comment la mise en place d’espaces maritimes protégés s’effectue à proximité des côtes. Des aventures humaines où il est question de développement durable au quotidien.

Tambour battant – Documentaire 52′ – Extrait :

Tambour Battant :

En Martinique,le tambour Bèlè est fabriqué avec les vieux tonneaux de rhum dont on récupère les douelles de chêne pour les assembler dans la construction du tambour. Dans le Bèlè, le ti-bwa, deux baguettes de bois que l’on frappe sur le cylindre du tambour, donnent le rythme suivi par le tambour. A cette musique s’ajoutent la danse et le chant. Dans ce film nous suivons la fabrication d’un tambour et accompagnons des musiciens, chanteurs et « tambouyés » spécialistes du Bèlè et qui pratiquent et modernisent cette musique.

http://www.languedoc-roussillon-cinema.fr/film-regional/tambour-battant

 

Les enfants d’icare – Documentaire 50′ – Extrait :

Les enfants d’Icare :

La compagnie des Arts Sauts a sillonné le monde pendant 10 ans avec ses spectacles de trapèze.

La création de leur dernier spectacle est l’enjeu d’une nouvelle mise en scène de la voltige avec un trapèze en croix. Ce film suit le processus de création du spectacle « Ola Kala », spectacle aérien où les corps des acrobates trapézistes sont soumis aux épreuves de la voltige et de la création.

 

Une marche en avant – Documentaire 52′ – Extrait :

Une marche en avant : 

Ils sont des milliers de migrants subsahariens à tenter l’aventure de l’Europe, via les enclaves espagnoles de Mélillia ou Sebta au Maroc ou à bord des «  patéras  », ces bateaux de fortune qui s’élancent dans le détroit de Gibraltar.

Entre frontières grillagées et mer méditerranée, un parcours semées d’embûches, où la mort est très présente. Sous pression de l’Europe, la répression est redoutable et les recours auprès des instances internationales presque impossible.

Une marche en avant est l’histoire de ces migrants oubliés et de personnes de la société civile qui leur donnent un coup de main dans les moments difficiles. Un propos humaniste face à une Europe qui verrouille ses frontières sans être trop regardante sur les droits de l’homme.

 

Mémoire d’éléphant – Documentaire 52′

Extrait :

Mémoire d’éléphant :

« Je sens une autre odeur de l’univers, c’est pour ça que je sculpte ce que je vois… J’essaie à ma manière de faire revivre les africains dans leurs cultures…. En somme, je suis fou, fou de vouloir reconstituer l’Afrique… » Bomavé Konaté.

« Une mémoire d’éléphant est le portrait de Bomavé Konaté, sculpteur Burkinabé. Homme de rencontres et de voyages, il développe dans sa bourgade du Burkina Faso, un projet de maison des cultures, lieu de résidence d’artisans et artistes du monde, également un lieu de recherche sur les traditions et la mémoire du Burkina Faso. L’élaboration puis la construction de ce lieu culturel ouvre le débat concret d’une Afrique rurale qui prend son développement culturel à bras le corps.